Quitterie Tauzia-Massart : quatre ans de fidélité à The Moon Venture, entre excellence, bienveillance et transmission

Quitterie Tauzia-Massart partage son parcours inspirant au sein de The Moon Venture, où excellence et bienveillance se rencontrent pour une croissance durable et humaine.

Lorsqu’on lui demande depuis quand elle est impliquée chez The Moon Venture, Quitterie Tauzia-Massart hésite. « J’ai l’impression d’être avec vous depuis 25 ans », plaisante-t-elle. En réalité, elle a rejoint la communauté à l’été 2021, presque par hasard. Et ce hasard a eu des airs de coup de foudre professionnel. Depuis, elle est devenue l’une des figures les plus actives de notre écosystème.

Entrepreneuse pendant plus de 25 ans dans les secteurs du BTP, de l’agriculture et du forage, Quitterie a ensuite réinventé sa vie autour du coliving et de l’investissement dans les start-ups. Une transition qui n’allait pas de soi. « Au début, je me disais : je n’ai rien à apprendre à personne. Et puis j’ai compris que mes expériences pouvaient justement être utiles, au-delà d’une simple participation financière », confie-t-elle.

Une autre idée de l’investissement

Son premier contact avec le monde de l’investissement en start-up a été plutôt brutal :  “Des egos surdimensionnés, aucune bienveillance. J’étais prête à tout arrêter.”. C’est finalement par l’intermédiaire d’une avocate bordelaise qu’elle entend parler de The Moon Venture (à l’époque, le Club des Prophètes). Elle rencontre Henri Tavernier et ce  qu’elle découvre la séduit immédiatement : une communauté d’engagement, de bienveillance et d’excellence. « J’ai eu l’impression de retrouver chez The Moon Venture les valeurs humaines et managériales que j’avais défendues toute ma vie. »

Chez nous, elle trouve un écho à sa vision du respect de l’effort entrepreneurial, y compris dans les moments difficiles.

“Tu mets tout sur la table quand tu entreprends. Il faut beaucoup de courage. Dire non à une start-up, ça arrive. Mais ça se fait proprement, avec des explications, des clés pour progresser. Ce n’est pas un moment humiliant. Et ça, c’est rare. Oui, on investit pour créer de la valeur. Mais on le fait avec une telle exigence humaine que ça change tout.”

Une communauté humaine, complémentaire et engagée

Quitterie parle avec admiration de la diversité et de la complémentarité des profils de la communauté : entrepreneurs au quotidien du terrain, grands dirigeants au regard stratégique, Moon Riders à la générosité impressionnante. « On croise des gens incroyables ici. Mais avec une humilité qui rend les échanges simples et féconds. “C’est cette combinaison qui fait la force du modèle.”

Elle insiste sur l’importance des événements, petits et grands, formels ou informels. C’est là que « la magie opère ». C’est là aussi que naissent des relations durables, des conversations sincères sur le quai d’une gare ou autour d’un petit déjeuner. « C’est ça qui donne envie de mouiller le maillot, de défendre sa start-up, son investisseur, sa communauté. »

Excellence + bienveillance = croissance durable

The Moon Venture, pour elle, c’est la rencontre de deux piliers rarement réunis : l’excellence et la bienveillance. L’envie de tirer chacun vers le haut, sans écraser. D’apprendre de ses erreurs, sans les cacher. De progresser collectivement, sans jamais se reposer sur ses acquis.

« Ce que j’aime chez The Moon, c’est que tout est réfléchi. C’est pro, rapide, transparent. Et on ne s’endort jamais sur nos lauriers. On avance, on s’améliore, on apprend — même de ce qui ne marche pas. Un écosystème « astucieusement construit », où tout est pensé : les événements, les rituels, les formats.”

Aujourd’hui, Quitterie continue de transmettre. À ses enfants, qu’elle invite à découvrir cette communauté. Aux start-ups qu’elle accompagne, parfois dans les moments les plus durs. À ses pairs, qu’elle inspire par son franc-parler et sa générosité.

« J’ai trouvé chez The Moon Venture un environnement qui me ressemble. Et même plus que ce que je cherchais. Une communauté de gens brillants, exigeants, mais profondément humains. C’est rare.  Et ça mérite qu’on s’y engage pleinement.”